Sur la banalité de l’amour       de Mario Diament

Mise en scène : André Nerman

Magnifique, Emouvant, Fort.

Hannah Arendt brillante étudiante, a 18ans lors de sa rencontre avec Martin Heidegger son professeur de philosophie.

 *Martin a le double de son âge, il est catholique et approuve les nouvelles idées du national-socialisme.

*Hannah est juive effrayée par la montée du nazisme Nous sommes en 1925.

Malgré leurs différences d’origine, d’âge et d’idéal politique, au premier regard l’amour surgira. Un amour passionnel, tourmenté, orageux mais éternel.

Leur histoire à faire couler beaucoup d’encre et a donnée  naissance à bien des discussions.

Nous partons à leur rencontre et à la découverte de leur histoire. Nous les côtoierons  de 1925 à 1950 à travers 5 épisodes importants de leur existence.

Au premier mot, nous adhérons à ce récit. Nous ne sommes plus au théâtre mais dans le bureau de Martin.  Nous sommes happés par le charisme de Martin « André Nerman », ébloui par la finesse, l’intelligence et la détermination d’Hannah « Emmanuelle Wion ». Leur amour nous subjugue, les larmes nous viennent aux yeux, c’est beau, c’est fort. Rempli d’émotions. Un amour si profond et si fort peut-il exister !

Les comédiens sont fabuleux, c’est magnifique.

Allez vite découvrir ou redécouvrir cette histoire d’amour invraisemblable.

 

Théâtre La Luna1 rue Séverine,,84000 Avignon

©DR

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Tag(s) : #festival d'avignon 2018, #Critiques

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