Ivresse(s) texte de Falk Richter
Dès les premiers instants on assiste à un sentiment de révolte.
Les comédiens rentrent en scène la paperasse s’envole dans les airs.
Adieu à la bureaucratie, aux conventions établies, aux modèles économiques existants .....
Nous serons confrontés à l’aberration du système actuel.
Le marché boursier profite à une minorité.
Les réseaux sociaux envahissent nos vies et nous crevons de solitude
Nous voulons un amour parfait et nous le détruisons à se poser trop de questions.
La création s’exprime-t-elle en toute liberté ?
Le final nous transporte dans une manifestation enthousiaste mais utopique.
L’éclairage contribue formidablement à nous transporter d’une intrigue à l’autre.
Le décor élaboré avec de simples ficelles, des bâches en pastiques et des feuilles de papiers est d’une imagination innovante et vivante.
Nous sommes embarqués par ces problématiques avec des comédiens talentueux.
Bravo Jean Claude Fall et à toute son équipe